• La Gazette 2010

    Prestations funéraires

    • Selon l’article de presse (L’Indépendant du 9 janvier 2011), relatif à mise en œuvre de la loi  93 -23  du  08/01/1993 sur les prestations funéraires, les fonctions de fossoyeur ne pouvant plus être assurées, dans leur temps de service, par les employés municipaux, la nouvelle municipalité a décidé, tout bonnement, de se décharger du problème.

    De ce fait les Durbanais doivent dorénavant prendre en charge les frais de toutes les opérations d’inhumation ou d’exhumation.

    Si aujourd’hui les employés municipaux ne souhaitent pas effectuer ces travaux, ne serait il pas  plus juste que la mairie en supporte le coût financier ?

    • Certes les impôts locaux n’augmentent pas, pour le moment, mais les Durbanais, face aux décès d’un des leurs, mettront, encore une fois, la main à la poche.

    Rappelez-vous : l’ancienne municipalité continuait à assumer, malgré la loi citée, ses responsabilités à l’égard des habitants, en prenant ces travaux à sa charge.

    • Un point de la vie locale où la gestion passée avait du bon !

     

    La Berre

     Depuis deux ans, dans la chronique de DURBAN, les journaux nous abreuvent d’articles à propos de la Berre et de ses dangers potentiels. Ils  émanent d’un Adjoint au maire qui semble avoir oublié qu’il l’était aussi déjà en 1999.  Espère t’il par là-même que les Durbanais finiront, eux aussi, par  oublier cette étape de son parcours !

     
    Ces articles, vindicatifs, tournent en rond autour d’un même slogan, facile à retenir : « plus jamais ça ! » et qui fait régulièrement les beaux jours de tous les démagogues.

     

    Sous ce slogan, un seul but, rechercher des responsabilités pour le passé et se garder de l’avenir ; un seul moyen, effrayer la population, en prenant les sinistrés de 1999 en otage comme supports de la politique d’aujourd’hui (ex l’article du 19/11/2010 dans l’Indépendant).

     

    Bien sûr, tous les sinistrés interrogés sur ce fait ne pourront jamais oublier ce cauchemar. Ceux qui ont dû quitter le village, qui ont tout perdu (maison, mobilier, souvenirs, photos de leurs proches) savent que rien, ni personne, ne remplacera tout cela. Ils n’ont pas besoin d’aller en pèlerinage sur le pont pour se souvenir, mais savoir les paniquer, les regrouper, à un moment politiquement choisi, donne l’impression de maîtriser les esprits !

     

    Quant à l’avenir, c’est autre chose. S’il vaut mieux, prévenir que guérir, encore faut-il choisir les bonnes solutions et se souvenir qu’il est des moments où Dame Nature n’en fait qu’à sa tête.

    Rocher

    • Depuis cet été, la municipalité a fait placer de grosses pierres autour de la Place Gabriel Tomas. De ce fait, les commerçants ambulants qui viennent le vendredi ne peuvent plus s'y installer et ont été obligés d'aller sur le parking face au terrain de tennis de l'autre côté de la Berre. Les  clients, en particulier les personnes âgées, sont obligées de faire un parcours plus long et les commerçants ont vu leur chiffre d'affaires diminuer.

    • Cette décision aurait été prise pour des raisons de sécurité. Or les clients du Crédit agricole, qui ne peuvent plus stationner autour de la Place se garent le long de la route principale et du Chemin Vieux, ce qui ne facilite pas la circulation à cet endroit.

    • Par ailleurs, on peut s'interroger sur l'esthétique de ces pierres dans la traversée du village.

     Rocher ...

     

    "Les Belles étrangères"

    • Une manifestation annuelle « Les Belles étrangères », mise en place par le Ministère de la Culture et le Centre national du Livre a pour objectif de faire découvrir la littérature étrangère contemporaine. Cette année, à l'initiative de la bibliothèque départementale, en partenariat avec l'association Eurocultures en Corbières, c'est notre canton, dans l'Aude, qui a été choisi pour recevoir deux écrivains colombiens Jorge FRANCO et Antonio UNGAR.

    • Le vendredi 12 novembre à 20 h 30 à la bibliothèque de Durban aura lieu une rencontre informelle animée par Martine DELORT.
      (Lectures de textes, partage du verre de l'amitié et gourmandises du terroir.)
      Le samedi 13 novembre à 20 h 45 à Bonnafous se déroulera une soirée colombienne avec musique, projection de diapos sur la Colombie et échanges avec les écrivains.